Dehmani, Alaeddine2020-01-192020-01-192019-07-13http://hdl.handle.net/123456789/8906Les Combustibles fossiles ont pris de l’avance dans la production d’énergie. La plupart des émissions atmosphériques sont causées par la combustion, ceci a conduit à la nécessité de réduire ces émissions dans tous les systèmes de combustion tels que les transports, les industries, le chauffage, etc. Des études récentes ont montré que les biocarburants, qui sont renouvelables, sont l'alternative la plus appropriée aux combustibles fossiles mais qui restent des carburants à bas pouvoirs calorifiques. Cela rend leurs flammes fragiles et peu résistantes aux étirements dues à l’injection des réactifs et induits par l’expansion des gaz chauds issues de la combustion. Dans ce mémoire, nous avons étudié les effets de la variation de la composition dans le mélange biogaz-syngaz et de la vitesse d’injection des réactifs sur la structure de la flamme turbulente et des émissions de NOx. Nous avons trouvé que la structure de la flamme est plus sensible à l’augmentation du volume méthane dans le biogaz qu’à celui de l’hydrogène dans le syngaz. Aussi, un mélange riche en syngaz et pauvre en biogaz est plus favorable pour la réduction des émissions de NO. L’augmentation de la vitesse d’injection réduit le volume de flamme, sa température et la concentration des espèces stables. Par contre il augmente les produits incomplets de la combustion. Finalement, l’injection avec une vitesse importante diminue les émissions des NOfrFlamme turbulente à jets opposésMélange biogaz-syngazEmissions polluantesCombustion turbulente des mélanges des biocombustibles à bas pouvoir calorifiqueOther