Merniz, LinaHadjar, Sabrina2020-01-292020-01-292019http://hdl.handle.net/123456789/8988Notre étude de " 2084 La fin du monde " de Boualem Sanasal nous a permis de dégager les mécanismes qui organisent la compétence de l'écriture et de mettre à découvert les matériaux mis en œuvre dans l'édification textuelle. Ceci laisse appréhender les structures architecturales constituant le tissu narratif pour élaborer le rapport qui existe entre les éléments constitutifs du genre narratif et la description architecturale. " 2084 La fin du monde " comme image de la société soumise surveillée déploie toute la machinerie du guet. Notre étude porte sur le mode de surveillance, elle examine les marques et les structures de contrôle social omniprésent du pouvoir se réclamant du divin et son rendu par la technique d'écriture, une écriture capable d'ouvrir les possibles narratifs à la complexité du monde contemporain. En choisissant : visages de l'écriture dans " 2084 La fin du monde " notre objectif n'est pas de mettre en avant un traité sur l'écriture, encore moins de faire un catalogue des modèles d'écriture qui marquent l'œuvre de Sansal; nous cherchons à approfondir notre étude et à jeter la lumière sur les zones d'ombre de son univers ultime.L'étude approfondie de l'œuvre de Sansal serait l'occasion d'exploiter aussi bien les apports de l'architecture, de la sociocritique, du panoptique, du programme narratif et de l'esthétique.frEcritureEdification textuelleStructure architecturaleTissu narratifContrôle omniprésent : socialLes Visages de l'écriture dans le roman 2084 La Fin du monde de Boualem SansalOther