Kahlat, MohammedBouguelmouna, AmmarBoughouas, Samir2018-12-252018-12-252016http://hdl.handle.net/123456789/7505Un projet est réussi lorsque le produit livré correspond aux attentes du (système) client, or les possibilités d’introduire des écarts sont très nombreuses : depuis le souhait, l’expression ,l’interprétation, la définition, la conception, la réalisation, jusqu’à la perception du produit final, le processus laisse place à de nombreux écarts de non-qualité. Ceci revient à dire que les phases de clarification, d’avant-projet et d’étude sont fondamentales. Si elles sont déterminantes pour tendre vers la maîtrise la qualité, il ne faut pas les dissocier d’un contrôle efficace des délais et des coûts. Il existe des recettes, des outils, mais conduire un projet n’est pas que de la cohérence. Il faut prendre du recul par rapport à nos habitudes de travail et réinventer de nouveaux modes de relation, de gestion du temps (il faut par exemple, accepter de perdre du temps en début de projet au lieu de se précipiter dans l’action) pour lesquels des compromis seront à trouver avec la culture, les valeurs, l’organisation, les moyens de notre service. Un projet est une alchimie complexe résultant des interactions entre les différents acteurs, un équilibre à trouver entre rigueur et souplesse, entre le possible et le souhaité. Toutefois, si vouloir s’organiser en mode projet semble relever du challenge, ses avantages apparaissenttrès vite. En effet, la capacité de réactivité, d’adaptation, de flexibilité qu’apporte ce modede fonctionnement, permet d’une part, de répondre à une demande avec efficacité et avec une forteprise en compte du « client » et de ses attentes, et, d’autre part de faire face à environnement instable. Face à ces constats, toute organisation se doit de s’intéresser à ce mode de fonctionnement.frChapitre conceptuelDes tableauDes figuresGestion et organisation d’un chantier d’équipement touristiqueOther