Makhloufi, SoniaBelabed sahraoui, Mounia2018-01-182018-01-182008http://hdl.handle.net/123456789/719Les bidonvilles sont aujourd'hui une réalité qui s’impose aux gouvernants. Ils constituent sans aucun doute un problème majeur de l’habitat dans le monde. Ce phénomène, fréquent dans les pays du tiers monde ou en voie d’industrialisation est lié d’une part à l’exode rural et d’autre part à l’insuffisance de la production du logement. Constantine capitale de l'Est algérien, Ville millénaire et grande métropole régionale, n’a pas échappé à ce fléau. Les bidonvilles ont pris des proportions importantes, en 2006, ils sont répartis sur 53 sites abritant 6266 ménages et totalisant 35772 personnes. Ils occupent des espaces plus ou moins dévalorisés (des terrains glissants, les rives des oueds, les anciennes carrières ...etc), qui sont situés dans des zones urbaines désavantagées marginalisées. La résorption de ce phénomène par le passé, n’a pas été un souci majeur dans la politique du pays. Les différentes mesures prises pour réradication des bidonvilles étaient ponctuelles et partielles. Aujourd’hui, l’habitat précaire est devenu un problème national, une priorité des hautes autorités du pays. Des décisions sont prises, en vu de son éradication.Cette action d’éradication est suivie dans certains cas par des reconstructions, dans d’autre cas les terrains libérés sont demeurés en friche, et n’ont connu que des tentatives d’étude d’aménagement discutables. La débidonvillisation devient une opportunité pour la ville de Constantine pour faire le renouvellement urbain. La réussite de ce projet dépend des acteurs mobilisés - les collectivités locales, l’Etat, les habitants - et de la priorité qu’ils donnent à la construction d’un environnement durable.frDébidonvillisationRenouvellement urbain : rénovation urbaineBidonville : (Constantine)Débidonvillisation et renouvellement urbain de la ville de Constantineune problématique de gestionOther