Saci, FeryalSabri, ImaneBenslama, Ouided2022-11-152022-11-152022http://hdl.handle.net/123456789/14398Les pertes agricoles dus aux maladies fongiques représentent une inquiétude sérieuse qui occupe le monde entier. Les risques sanitaires et environnementale liés à l'utilisation des fongicides chimiques se posent dans plusieurs pays du monde. Les molécules bioactives d'origine naturelle sont une alternative idéale à ces produits chimiques conventionnelle. Dans cette étude nous avons recherché à isoler des souches Pseudomonas spp. et des souches fongique à partir de 3 échantillons de sol rhizosphérique de menthe, lentilles, et blé en vue de tester leur potentiel biofongicide contre l'isolat phytopatogène Alternaria sp. L'isolement a permis l'obtention de 10, 12, et 5 isolats, de chaque rhizosphère respectivement. Les isolats retenus ont été sélectionnés sur la base de leur aspect macro et microscopique en se référant aux caractères spécifiques des souches de Pseudomonas et des souches fongiques. Dans une deuxième étape des essaies d'antagonisme in vitro ont été menés selon la technique de confrontation directe sur gélose. Les résultats de ce test ont montré que la croissance mycélienne enregistrée chez les témoins est nettement supérieure à celle des couples Pseudomonas sp./Alternaria sp. Et champignon/Alternaria sp. Le test d'antagonisme in vitro a permis d'estimer le potentiel inhibiteur des isolats de Pseudomonassp.et souches fongiques vis-à-vis du phytopathogène. Cette évaluation a révélé des intensités inhibitrices variables selon la souche antagoniste.frAntagonismePhytopathogènePseudomonasEtude de l’activité antagoniste de souches fongiques et de pseudomonas SPPcontre l’agent phytopathogène AlternariaOther