Belkhiri, Aimad EdineMerzoug, SlimaneBouguelaan, MohammedDali, AmimeurBendjoudi, Ali2023-11-282023-11-282021-11-029789931974406http://dspace.univ-oeb.dz:4000/handle/123456789/17077Cette contribution s’inscrit dans le cadre d’un travail de recherche (Projet PRFU, 2018) mené par une équipe de chercheurs, et qui vise à expliquer les déterminants de la mobilité urbaine actuelle des Algériens et ses évolutions futurs. Pour ce faire, nous avons mené une étude auprès des usagers du transport urbain, dans tous ses modes, au sein d’une ville moyenne, en l’occurrence la ville de Bejaia. En clair, notre problématique consiste à répondre à la question centrale suivante : quelles sont les variables socioéconomiques qui influencent la mobilité urbaine des Algériens dans une ville moyenne ? La méthodologie adoptée repose essentiellement sur plusieurs techniques d’investigation (l’observation et l’enquêe). Les réultats montrent qu’au niveau de la ville de Bejaia, le bus et le véicule personnel sont souvent utilisés pour les déplacements. La voiture occupe une place importante et le taux de motorisation est très élevé, cette dépendance à l’automobile amplifie les externalité néatives du systèe de mobilitéet engendre des problèmes pressants, notamment la congestion interrompue. De plus, le revenu des ménages est un élément déterminant pour la mobilité urbaine. A cet effet, ils consacrent une partie de leur revenu pour le déplacement par bus vu les dépenses exorbitantes générées par l’utilisation des autres moyens (véicule personnel, Taxi…). Toutefois, il semble que le recours aux transports par les moyens doux (vélo, marche à pied) est une culture qui n’est pas encré chez la population.frEtude sur les facteurs determinants de La mobilite urbaine dans une ville Moyenne algerienne (bejaia)Article