Bouaddis, LatifaBenoumeldjedj, Maya2021-11-252021-11-252021http://hdl.handle.net/123456789/12785La particularité des espaces intermédiaires dans les grands ensembles comme dans toute la ville c’est qu’ils sont le support et l’articulation de toutes activités humaines et relations sociales. La répartition spatiale anarchique, non appropriée aux usagers et mal défini par les habitants que par les autorités contribue à la dévalorisation et la dégradation de ces espaces extérieures exprimé par le sentiment d’abondant qui abolit le partage socio- spatiale et renforce l’émergence d’insécurité ce qui cause le dysfonctionnement aperçu et vécus. Dans notre thème de recherche l’importance était dédiée aux espaces extérieures comme configuration spatiale influant la vie de groupe et le mode de vie communautaires ; ainsi que le partage comme valeur commune qui introduira à l’espaces une dimension socio-fonctionnel et constituera un mode de gestion et de sécurisation. Aujourd’hui le développement des pratiques partagées et collaboratives au coeur des logements collectifs devient nécessaire que ce soit dans les nouveaux projets d’habitation, que les projets d’améliorations. Repenser ces parties communes dans ce sens pourra participer à offrir une étendue au logement, à donner une identité à l’espace : un usage, une valeur spatiale qui lui offre la possibilité d’accueillir des pratiques communes et créer des liens sociaux car l’usage ne définit pas seulement une fonction, il régit la conception et qualifie la pratique du lieu en le mettant en partage avec l’autre ce qui permettra de vivre l’espace autrement.otherl’amélioration du cadre de vieLe partage et la Sécurisation d’espaceLa configuration spatialeOther