Zerara, AsmaBoulahbal, Karim2018-10-182018-10-182014http://hdl.handle.net/123456789/5313Ce mémoire évoque une écrivaine franco-algérienne particulière par son statut compliqué, et l'impossibilité de pouvoir la classer : française, algérienne ou autre chose.De ce fait notre travail consiste à démontrer les raisons de cette appartenance identitaire fabriquée et complexe, et la réponse reste le silence du père, un silence qui a fait de Leila Sebbar une écrivaine d'exil par excellence, et le silence de la langue du père l'arabe, la langue de l'émotion et de la violence. Notre récit " Je ne parle pas la langue de mon père ", est un hommage pour le père, que Leila Sebbar surnommait " l'étranger bien-aimé ".frRoman : Je ne parle pas la langue de mon père : Sebbar, LeîlaLe rôle de la langue dans l'appartenance identitaire compliquée de leila sebbar dans " je ne parle pas la langue de mon père "Other