Quantification des rejet des eau résiduaires de la région de Mila et leurs impact sur la retenue du Barraga de Beni Haroun

dc.contributor.authorSaadoun, Wissame
dc.contributor.authorMarouf, Nadir
dc.date.accessioned2018-03-01T07:40:42Z
dc.date.available2018-03-01T07:40:42Z
dc.date.issued2012
dc.description.abstractLe barrage de Béni Haroun est un grand complexe hydraulique stratégique en Algérie, situé dans la Wilaya de Mila au nord-est de l'Algérie. Le barrage de 120 m de hauteur, est le plus important et le plus grand barrage en Algérie avec une capacité de 960 millions de mètres cubes. Le barrage proprement dit est constitué d’une digue renforcée de 1,5 million de m3 de béton roulé compact. Chapitre I : Caractéristiques du bassin versant kébir Rhumel : le Bassin versant de Kébir Rhumel est situé au Nord Est de Algérie. Le bassin présente une surface totale de 8825 Km2. Il se divise en deux grandes parties distinctes. La partie occidentale, constituée le bassin de l'oued Enndja d’une superficie de 2.169 km2, se caractérise par des précipitations relativement élevées (700mm/an en moyenne) et une topographie montagneuse. Dans ce bassin, les cotes atteignent 1.400, ou davantage. Les deux rivières, l'Endja et le Rhumel, confluent près de l’extrémité, le bassin versant total au site de barrage de Beni Haroun a une superficie de 7.725 km², dane le bassin de l'oued endja situe à l'oued et au nord-ouest de l'ensemble du bassin verant du Kebir Rhumel la saison pluvieuse s'étend généralement du mois de décembre au bassin versant du Kebir-Rhumel, la saison pluvieuse s'étend généralement de décembre au mai de mai , dans le bassin de l'oued Rhumel qui s'étend du sud au nord- est du bassin , la pluviométrie est distribuée de façon plus uniform tout au long de l'année que dans le bassin de l'oued Endja les propriétés d'infiltration dans le bassin de l'oued Rhumel semblent aussi indiquer que le sol est plus perméable que dans celui de l'oud Endja les débits des L'ou Enndja et Rhume à leur Confluence. Chapitre II : Hydrologie et ressources de bassin version kébir Rhumel : Du point de vue quantitatif, les ressources hydriques de trois (3) wilayas étudiées sont limitées. Par contre dans le bassin d’étude une grande capacité souterraine et superficielle permet sans aucun doute un développement durable des hautes plaines constantinois. Le chapitre III : Agglomération montre que les grandes agglomérations sont situées dans les wilayas de Constantine, Mila et Oum-El-Bouaghi. Le chapitre IV : comporte l’urbanisation et l’assainissement des agglomérations concernées (Constantine, Mila et Oum-El-Bouaghi). L’étude montre un taux d’urbanisation plus élevé, de l’ordre de 99% dans la wilaya de constantine comparant aux autres agglomérations. Dans la wilaya de Mila et Oum-El-Bouaghi, le taux d’urbanisation est successivement de l’ordre de 95% et 99%. Chapitre V : En industrie, il est question de séparer les rejets urbains des rejets industriels en installant des stations d’épuration adaptées à la nature des rejets et en contrôlant les rejets aux moyens réguliers. L’auto mesure est un moyen très efficace les besoins en eau pour irrigation dépendent essentiellement des eaux qui viennent du barrage dont la qualité de l’eau est bonne pour l’irrigation. Différents modes d’irrigation sont appliqués dans ce bassin et varient d’une région à l’autre. La surface globale irriguée dans ce bassin reste effectivement insuffisante, d’environ de 500ha seulement irriguées. • Les besoins des grands bassins d’irrigation projetés dans le bassin (plus de 40000 ha) permettront vraiment l’accroissement socio-économique de la région environnementale du barrage de Beni-Haroun et en particulier les zones rurales. Le chapitre VI Les rejets des eaux usées domestiques et industrielles dans le bassin versent Kébir Rhumel est importants. Une contamination généralisée du bassin versant par les matières organiques, matières azotées et matières phosphorées est la conséquence d’un la forte concentration urbaine. • Le rejet des eaux usées brutes perturbe l’équilibre du milieu récepteur, la quantité de pollution rejetée est devenu incompatible avec les capacités d’autoépuration des cours d’eau du bassin et provoque des conséquences néfastes tels que : • Dégradation du milieu naturel • Pollution des mers, des lacs et cours d’eau • Risque de contamination des eaux souterraines Ces rejets, donc, doivent être traités avant leur déversement dans le milieu récepteur. Or aucun processus de traitement ne peut être monté qu’après une identification complète de l’eau résiduaire sujette d’épuration.ar
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/123456789/2086
dc.language.isofrar
dc.publisheruniversité Oum-El-Bouaghiar
dc.subjectAssainissement hydraulique : épuration eauar
dc.titleQuantification des rejet des eau résiduaires de la région de Mila et leurs impact sur la retenue du Barraga de Beni Harounar
dc.typeOtherar
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