Etude théorique de la structure électronique et des réarrangements haptotropiques des complexes poly et hétéro-polycycliques de métaux de transition

dc.contributor.authorSaiad, Amira
dc.contributor.authorZouchoune, Bachir
dc.date.accessioned2018-01-10T12:11:54Z
dc.date.available2018-01-10T12:11:54Z
dc.date.issued2017
dc.description.abstractLa première partie du manuscrit a traité la structure électronique et moléculaire des complexes L3M(Tphn) et M(Tphn)2 pour la première rangée de métaux de transition liés au ligand triphénylène. En effet, il devrait être possible d'observer l'existence de plusieurs isomères d'énergie similaire de différentes hapticités et leur interconversion en solution, notamment au moyen de déplacement haptotropic. Toutes les structures optimisées L3M(Tphn) et M(Tphn)2 présentent de grands écarts énergétiques HOMO-LUMO sauf pour celles du titane, donnant lieu à des isomères les plus stables avec une configuration à couche fermée favorisées à 16-EVM (titane, vanadium, nickel) et 18-EVM (chrome, manganèse, fer et cobalt). La deuxième partie du manuscrit s'est intéressée à l'étude de complexes sandwiches encapsulant un cœur métallique triangulaire. Cette étude nous a permis de prévoir l'existence de composés sandwiches de formule [M3(Tr)2L2]2+ pour les métaux Fe, Ni, Pd et Pt.. Les résultats rapportés soulignent la richesse de la coordination du ligand de tropylium et sa flexibilité de se comporter comme un ligand cationique. La discussion a assigné des ordres de liaisons formels M-M en fonction des distances de liaison et de la localisation des orbitales moléculaires. Afin de fournir un aperçu supplémentaire de la liaison métal-métal pour ces espèces, les indices de liaisons de Wiberg (IW) ont été déterminés par les méthodes BP86 et M06L en utilisant une analyse des orbitales naturelles (NBO). Il est à noter que les distances de liaison métal-métal sont sensibles à la fonctionnelle utilisée. La dernière partie de ce manuscrit concerne une interprétation de la structure et la stabilité de clusters organométalliques du rhodium dont le coeur est constitué de 15 atomes décrivant un cube centré hexacoiffé. Les ligands sont des carbonyles ou des isonitriles. Ces composés présentent des nombres d'électrons de valence variant de 192 à 198 et n'apparaissent pas à priori respecter les règles de décompte électroniques usuelles provenant de la PSEP. Une analyse orbitalaire détaillée de leur structure électronique a été entreprise afin de tenter de rationaliser leur structure. Les résultats tendent à montrer que pour ces composés une fourchette de nombres d'électrons est permise et pour lesquels une structure quasi-identique est stabilisée. La variation du compte électronique modifie légèrement les structures, où généralement les distances métal-métal varient faiblement. Malgré que ces clusters présentent de faibles écarts énergétiques HOMO-LUMO, l'état singulet est toujours obtenu plus stable que ceux à haut spin (S = 1 et S = 2)ar
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/123456789/456
dc.language.isofrar
dc.publisherUniversité d' Oum El Bouaghiar
dc.subjectMéthode DFTar
dc.subjectInteractions orbitalairear
dc.subjectDensité de spinar
dc.titleEtude théorique de la structure électronique et des réarrangements haptotropiques des complexes poly et hétéro-polycycliques de métaux de transitionar
dc.typeOtherar
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