Browsing by Author "Merzoug, Djemoi"

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    Contribution à l'étude bio-écologique des insectes d'intérêt médical dans le nord-est algérien
    (université Oum El Bouaghi, 2017) Kabbout, Nassira; Merzoug, Djemoi
    Les maladies à transmission vectorielle présentent un problème majeur de santé public humaine et animale par la morbidité et la mortalité qu'elles entrainent pour l'homme et les animaux et constituent un obstacle et frein pour le développement, de par la souffrance et l'incapacité qu'elles causent aux populations actives et par leur impact économique considérable sur la production animale et particulièrement lourd sur les budgets des pays touchés. A l'est algérien ; dans la région de Tébessa, et d'O-E-B, les maladies à transmission vectorielle sont en évolution permanente sous l'influence majoritaire des facteurs climatiques et anthropiques. Ces régions sont aujourd'hui le théâtre des leishmanioses cutanées, et viscérale et d'autres maladies à vecteurs en particulier la FCO (fièvre catarrhale ovine). Les leishmanioses cutanées sont devenues endémiques. Une étude rétrospective des cas de leishmanioses (LC) et (LV) dans deux régions Tébessa et OEB ; a révélé que la LV y est sporadique (dans les deux régions) tandis que la LC qui est toujours sporadique à O-E-B, est endémique dans la région de Tébessa. Le secteur de Bir El Ater fournit les chiffres les plus lourds. La région d'O-E-B et de Tébessa ont connu la première incursion de la fièvre catarrhale ovine(FCO) en 2000 et sa recrudescence 2006. Des enquêtes entomologiques sur les phlébotomes, vecteurs des leishmanioses et sur les culicoides, vecteurs de la (FCO), ont été menées dans ces deux régions ; (O-E-B et Tébessa) par l'utilisation de trois types de pièges ; (adhésifs, CDC et de type OVI), depuis l'année 2009 jusqu'à l'année 2015. Les résultats obtenus ont permis de recenser 7 espèces de phlébotomes dans la région d'OEB foyer potentiellement émergent, et 8 espèces dans la région de Tébessa ; foyer actif. P. perniciosus est l'espèce la plus dominante dans les deux régions, suivie de P.perfiliewi à O-E-B. Cette dernière espèce était absente à Tébessa ; ou se sont récoltées P.alexandri et P.chabaudi. Deux espèces qu'on n'a pas rencontrées à O-E-B. A propos des culicoides ; les captures ont permis l'établissement d'un inventaire initial des culicoides à l'est algérien, prospecté pour la première fois. 22 espèces de culicoides ont été recensées dont six (6) sont nouvellement signalées en Algérie. L'écologie des phlébotomes et des culicoides a été approchée à travers la détermination de quelques indices écologiques, tels que la richesse spécifique, l'abondance relative, la constance, et les indices de diversité. C.imicola est l'espèce prédominante dans la région de Tébessa, suivie de C.newsteadi et C.circumscriptus. Ces dernières sont prédominantes à O-E-B tandis que, C.imicola y était faiblement représenté. Les facteurs de risque ont été discutés dans le but de caractériser les zones à haut risque de contamination ; pour mieux guider les services de prévention dans leur lutte contre ces deux parasitoses.
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    Organisation des Sociétés d’abeilles
    (Université Oum El Bouaghi, 2021) Bouakaz, Khaled; Tiab, Hicham; Merzoug, Djemoi
    Nous avons mené des expériences sur des abeilles mellifères, en les transférant d'une ruche à une autre nouvelle ruche sans transfert de reine, où l'étude a duré 30 jours, la période suffisante pour l'émergence de la reine et de tous les membres de la communauté des abeilles (mâles et femelles), que les abeilles ouvrières ont travaillé à élever à travers les larves. Située dans l'incubateur ouvert, le but de toute cette étude était d'observer le comportement social des abeilles et comment la communauté d'abeilles se développe et établit une nouvelle communauté en l'absence de la reine.
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    Recherche bibliographique sur les amphipodes de l’Algérie
    (Université de Larbi Ben M'hidi- Oum El Bouaghi, 2022) Kabari, safia; Aguezlane, Fatima Zohra; Alligui, Ilhem; Merzoug, Djemoi
    En raison de la grande superficie de l'Algérie et de la diversité de son climat, elle est connue pour l'unicité de ses ressources biologiques et génétiques. Malgré cela, c'est l'une des rares zones étudiées, dont la faune aquatique (Crustacés) dans cette partie du monde est inconnue. Cette étude a porté sur la diversité et la répartition des crustacés dans le nord de l'Algérie. Nous avons procédé à une analyse complète des crustacés et abordé leurs lieux de propagation dans plusieurs états du nord Algérien (Batna, Oum El Bouaghi, Khenchela, Souk Ahras...). Là où la compilation des études précédentes a montré la présence d'onze espèces réparties dans des proportions et des types différents selon chaque région. La répartition comparée de certaines espèces permet d'examiner quelques hypothèses quant aux facteurs sous-jacents à cet endémisme et à l'origine géographique de l'espèce. Cependant, notre étude a révélé un manque général de connaissances dans la région, et surtout dans le reste de l'Algérie. Ain si, plus d'informations sont nécessaires pour suggérer des stratégies de conservation appropriées pour les animaux d'eau douce.
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    Recherche phréatobiologique dans la région de Khenchela (Sud Est algérien)
    (université Oum El Bouaghi, 2015) Khaldoun, Latifa; Merzoug, Djemoi
    Ce travail représente les premières données sur la faune aquatique des eaux souterraine dans la région de Khenchela, dans le Nord-Est de l'Algérie. Cette étude avait comme objectif de rechercher et de préciser la relation pouvant exister entre la qualité de l'eau des puits et des sources et la diversité de la faune aquatique présente dans ces habitats. Pour cela 21 stations (19 puits et 2 sources) ont fait l'objet, de février 2011 à Janvier 2012, de prélèvements mensuels de l'eau et d'un échantillonnage de la faune aquatique. Les stations retenues ont été choisies en raison de la diversité de leur faune mais aussi et surtout parce qu'elles présentaient entre elles certaines différences évidentes (profondeur de la nappe, nature du substratum, protection des puits et utilisation de l'eau par la population locale), qui pouvaient laisser espérer une certaine diversité. Les principales composantes physico-chimiques de la qualité de l'eau ont donc été mesurées puis une analyse en composantes principales (ACP) a été réalisée à partir des valeurs moyennes de chaque paramètre ; on a pu révéler ainsi l'existence d'une variation spatiale relativement marquée de ces descripteurs, faisant apparaître quatre groupes de stations très inégaux et bien différenciés : les deux premiers groupes rassemblent 12 puits dont l'eau est très polluée et les deux derniers qui contiennent les autres puits et les deux sources fournissent une eau de bonne qualité ou légèrement polluée. La faune aquatique de ces puits et sources a également été échantillonnée de façon périodique. La richesse faunistique globale des stations apparaît faiblement corrélée avec la qualité de l'eau, mais en revanche la richesse spécifique de la faune stygobie (celle qui vit dans la nappe phréatique) et plus encore l'abondance de ces espèces stygobies, diminuent de façon significative avec la pollution. La présence d'une faune stygobie, et particulièrement celle des crustacés péracarides, apparaît ainsi comme un indicateur de la qualité de l'eau de ces puits et des sources.