Browsing by Author "Dib, Dounia"

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    Evaluation de l' activite antioxydante des alcaloïdes de la plante hyoscyamus albusl. de la region de khenchela
    (Université d'Oum El Bouaghi, 2021-12-13) Kadi, Kenza; Ayeb, Nour El Houda; Hamli, Sofia; Addad, Dalila; Boukeria, Sabah; Lekmine, Sabrina; Nagaz, Kamel; Dib, Dounia; Gueboudji, Zakia; Merghad, Awatif; Djellal, Houda; Yahia, Abdelouahab
    HyoscyamusalbusL. est une plante médicinale de la famille des Solanaceae, connue par son usage thérapeutique comme antioxydant. Cette étude s' inscrit dans le cadre de l'évaluation de l'activité antioxydante des alcaloïdes de la partie a é rienne de cette plante récoltée à la Wilaya de Khenchela. L' extraction par l'éthanol (70%) a révélée un rendement égal à 14.90 %, dont le criblage phytochimique de la partie aérienne de la plante H. albusL. a révélé la présence de flavonoïdes, saponines, tanins, alcaloïdes, sté roides et coumarines. Le dosage des alcaloïdes totaux de la partie aérienne de la plante par la méthode volumétrique est de 0.248%. L'activité antioxydante a été évalué e in vitro en utilisant deux méthodes : le pouvoir réducteur et le l' activité scavenging du radical DPPH •, dont les résultats ont montré que la capacité antioxydante totale de l' extrait alcaloïdique est de (9.07±0.012) mgEAA/g; par contre le second test a révélé que l' inhibition du radical DPPH par l'extrait alcaloidique de la partie aérienne de l' H. albusL. montre qu'il aexhibé un pourcentage d' inhibition important égal à (34,510,5) % et l' IC50 est 0.20 mg/ml. Les résultats trouvés justifient l' usage traditionnel de cette plante dans la région de khenchela.
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    Origine et caractérisation de la pollution des eaux dans le bassin de Tarf (Ne-Algérien)
    (université Oum-El-Bouaghi, 2018) Dib, Dounia; Khiari, Abdelkader
    Ce travail concerne l’étude des problèmes de qualité des ressources en eaux de la région du sous bassin de Garaet el Tarf. La justification du choix de la zone est reliée à son contexte géologique (Endoréisme), climatique et édaphique. Le sous bassin, situé à l’Est Algérien présente des ressources en eaux vulnérables aux pollutions vue les conditions physiques du milieu (présence de la Garaet el Tarf) et l’occupation anarchique de l’espace par l’agriculture qui exploite l’eau de façon non rationnelle. Les eaux souterraines sont soumises à des contraintes naturelles et anthropiques. Les contraintes naturelles font apparaitre le problème de salinisation des ressources en eau. L’acquisition de la charge saline a fait l’objet d’une caractérisation de 47 points d’eau répartis à travers le sous bassin. Les résultats montrent que les phénomènes de dissolution des évaporites issus de la Garaet augmentent la minéralisation des eaux souterraines notamment les moins profondes. L’évaporation intense joue également un rôle prépondérant dans cette salinisation. La variation de la qualité chimique des eaux de 11 points suivis pendant une période de quatre ans (2011-2015) a montré la dominance des phénomènes de précipitation-évaporation qui exercent une action négative sur la ressource en qualité et en quantité. Les pressions anthropiques sont plus importantes de par leur effet à bas bruit sur la santé de l’écosystème. Les rejets d’eaux usées brutes et le dysfonctionnement des stations d’épuration disponibles lors des périodes de crues posent un problème de qualité écologique et éthique. L’analyse sur les deux compagnes de l’année 2014 et 2017 des eaux résiduaires des principales agglomérations montre des valeurs dépassant les normes décrites par l’organisation mondiale de la santé et la réglementation Algérienne ainsi qu’un problème d’incapacité d’élimination de la charge polluante organique par les procédés de traitement que possède les STEP disponibles. Tous les résultats de l’analyse physico-chimique ont été traités par des méthodes hydrochimiques et statistiques. La distribution spatiale des éléments à l’aide du système d’information géographique (GIS) montre une minéralisation importante au fur et à mesure qu’on se rapproche de la Garaet d’el Tarf où les aquifères sont plus vulnérables à cause de la nature de la zone non saturée.