رسائل الماجستير
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Browsing رسائل الماجستير by Author "Ali Khodja, Djamel"
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Item Les Technique narratives dans les contes philosophiques de Voltaire(Université d' Oum El Bouaghi, 2008) Kabache, Samra; Ali Khodja, DjamelDans ce modeste travail de recherche, nous avons analysé deux contes philosophiques: Micromégas et L'Ingénu, d’un auteur classique très célèbre; Voltaire.Nous avons recherché les techniques narratives employées par cet écrivain dans ce genre littéraire nouveau et singulier à cette époque, en utilisant une méthodologie plurielle et scientifique. Notre objectif principal est de dévoiler l'apport philosophique qui existe sous cette plume conteuse, et quels moyens de langue exigent cette opération intellectuelle singulière pour atteindre ce fictionnel et raisonnable à la foisItem Poétique de l'espace dans " Cette fille-là " de Maïssa Bey(Université d' Oum El Bouaghi, 2010) Ali Khodja, DjamelNous avons voulu à travers ce modeste travail de recherche étudier la topographie spécifique qui donne sa tonalité propre au roman Cette fille-là de Maïssa Bey. Certes, notre objet d'étude est d'une manière générale la catégorie de l'espace. Or, notre préoccupation majeure est la poétique de l'espace dans Cette fille-là. Il nous a semblé intéressant de voir comment tel ou tel lieu acquiert une dimension poétique, c'est l'espace poétisé et non celui de la réalité qui est notre objet d'étude, d'où l'intitulé : Poétique de l'espace dans Cette fille-là de Maïssa Bey : Poétique du moi ou topographie subjective ? Nous nous sommes proposée donc d'analyser les lieux, leurs rapports entre eux, ou encore entre les personnages ainsi que leurs métamorphoses. La romancière choisit de situer actions et personnages dans un hospice, "nerfs de fous", "maison de vieux", bref un espace clos, limité, qui rime si bien avec la séquestration traditionnelle de la femme algérienne. Dans ce "mouroir" sont enfermées, rejetées, marginalisées, dressées dans leur solitude sauvage des femmes rebelles, qui, pour transcender cette solitude, qui signifie, une peine, une condamnation voire une lente expiration, décident de se confier à Malika, de parler, digresser, inventer des histoires, recréer des identités pour ne pas succomber. De jour en jour, Malika devient l'animatrice de cet espace placé sous le signe de l'opacité et de la clôture. L'héroîne-narratrice entame une quête d'identité qui n'aboutit jamais, assume à la fois la narration de son récit ainsi que ceux des autres pensionnaires. Marquées par leur optimisme, ces femmes cloîtrées dans cet asile trouvent de nouvelles coutumes, activités, expressions qui s'inscrivent contre cet espace, qui, au début, était un obstacle, un agent de désagrégation, or, par la suite, devient une force unificatrice, un lieu d'amitié, d'amour, de tolérance, de solidarité sororale, de liberté spirituelle, bref de parole et d'écriture. Pour survivre dans cet espace aussi étouffant qu'une prison, elles s'accrochent à remémorer un passé individuel et collectif. A présent, le passé sublime, sert d'échappatoire dans le présent fuyant, et la mémoire constitue le moteur qui fait revivre les histoires, qui mène une guerre d'harcèlement à la fois ironique et pathétique contre l'oubli